Une tribune de 105 entrepreneurs, qui signent un appel à sa candidature.
Cette tribune a été publiée sur Atlantico le 13 novembre 2021.
Il n’est ni économiste, ni haut fonctionnaire, ni même homme politique et pourtant il pourrait être le meilleur atout pour donner à nos entreprises les moyens de leurs ambitions.
Éric Zemmour peut-il donner un nouveau souffle à l’économie française?? Nous pensons que oui. Alors que l’écrivain ne s’est pas encore officiellement prononcé sur ses ambitions présidentielles, nous l’enjoignons à dissiper cette ambiguïté et à se lancer dans cette bataille électorale décisive.
Nous sommes entrepreneurs et chefs d’entreprise : malgré des parcours, des profils et des secteurs d’activités différents, nous partageons tous une conviction commune, celle d’un long déclin de l’économie française. Ce lent déclassement subi par nos entreprises et nos salariés nous inquiète pour notre avenir et celui de nos enfants.
La situation est grave. Les indicateurs économiques le démontrent sans équivoque. Nous sommes le seul pays européen à être massivement et structurellement en déficit commercial. Notre dette et le capital de nos entreprises sont de plus en plus détenus par des intérêts étrangers. Nous nous sommes laissé bercer et endormir par les mirages de la “mondialisation heureuse”, de la France sans usine et de la réduction du temps de travail.
Afin de renouer avec la prospérité, les accommodements à la marge ne suffisent plus : il faut changer les règles, ou plutôt, oser jouer avec les mêmes règles que nos concurrents.
Eric Zemmour propose une vision alternative inédite pour nos entreprises : lucide sur les contraintes fiscales et réglementaires subies par tous les acteurs de l’économie, et conscient que le retour de la France parmi les premières puissances industrielles et commerciales passera par un État qui assume le rapport de force inhérent à la mondialisation. La fin de trente ans d’angélisme et de naïveté auprès de nos différents partenaires commerciaux européens, chinois ou américains, dont nos entreprises ont été les premières victimes. Les turpitudes de Naval Group en Australie viennent nous le rappeler cruellement : dans la mondialisation, les entreprises sont les porte-étendards des États et, sans soutien politique, nos groupes ne jouent pas à armes égales avec nos concurrents.
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