Et dans la série "La France n'a pas dit son dernier mot", nous pouvons entendre celle-ci dire:
"Oui, Manu, c'est bien trouvé ta commémoration du massacre par noyades de manifestants pro FLN le 17 septembre 1961. Mais la djournaliste marocaine sur France Manu Info qui explique que c'est bien de parler de dates qui ne sont pas connues pour mettre des mots sur des douleurs, n'a pas dû aller à la french school de la great planet again, parce que cette date est bien connue de ceux qui y sont allé avec sérieux, parmi lesquels ceux et celles qui ont étudié "Meurtres pour mémoire"; Par contre, curieusement, les massacres d'Européens, hommes, femmes, enfants, éviscérés dans le Constantinois le 20 août 1955, ne sont pas very often told at the french school"**
Bon, d'accord, il faut contextualiser:
Imaginons des Gaulois qui auraient éviscéré des familles de Romains. Oseraient-ils 6 ans plus tard manifester dans les rues de Rome pour l'indépendance de leur tribu?
SPQR.
** Quant à la musique de l'âme marocaine solidaire de "l'Algérie qui n'est pas très loin", vu les escarmouches mortelles survenues depuis entre ces victimes du génocidaire européen, c'est à se laisser jouer les zygomatiques...
Même si, nous le savons, comme dans les banlieues, les "chances pour la France" savent se souder (y compris avec des français récents de sol travaillant dans la Police) quand il s'agit de léser et d'écraser le Français qui ne se sent autre que Français.
3 commentaires