Eric Zemmour appelle à l’union des droites pour les législatives

Eric Zemmour a réagi à la victoire d’Emmanuel Macron pour un second mandat et appelé à l’union des droites en vue des élections législatives en juin.

“Ce soir, les amoureux de la France ont perdu”. C’est avec ces mots qu’Eric Zemmour a commencé son discours pour réagir à la victoire d’Emmanuel Macron avec environ 58 % des voix contre 42 % pour Marine Le Pen. “Cela fait trop longtemps que ceux qui aiment passionnément la France sont vaincus”, s’est désolé Eric Zemmour.

De ce fait, Eric Zemmour a appelé “le bloc national à s’unir et se rassembler” pour les élections législatives des 12 et 19 juin 2022. “Nous devons oublier nos querelles et unir nos forces, c’est possible, c’est indispensable, c’est notre devoir”, a affirmé Eric Zemmour. “Voulons-nous donner les pleins pouvoirs à Emmanuel Macron et Jean-Luc Mélenchon”, a demandé le leader de Reconquête.

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2 commentaires

Socrate 29 avril 2022 - 13 h 18 min
Inutile d'insister, c'est foutu, la France est foutue. Ceci est mon dernier message sur ce site.
loup gris 30 avril 2022 - 10 h 49 min
Les principes-clé déjà largement appliqués pour obtenir une société de "veaux" qui ne songeraient même pas à se révolter. "Pour étouffer par avance toute révolte, il ne faut pas s'y prendre de manière violente. Il suffit de créer un conditionnement collectif si puissant que l'idée même de révolte ne viendra même plus à l'esprit des hommes. L'idéal serait de formater les individus dès la naissance en limitant leurs aptitudes biologiques innées. Ensuite, on poursuivrait le conditionnement en réduisant de manière drastique l'éducation, pour la ramener à une forme d'insertion professionnelle. Un individu inculte n'a qu'un horizon de pensée limité, et plus sa pensée est bornée à des préoccupations médiocres, moins il peut se révolter. Il faut faire en sorte que l'accès au savoir devienne de plus en plus difficile et élitiste. Que le fossé se creuse entre le peuple et la science, que l'information destinée au grand public soit anesthésiée de tout contenu à caractère subversif. Surtout pas de philosophie. Là encore, il faut user de persuasion et non de violence directe: on diffusera massivement, via la télévision, des informations et des divertissements flattant toujours l'émotionnel ou l'instinctif. On occupera les esprits avec ce qui est futile et ludique. Il est bon, dans un bavardage et une musique incessante, d'empêcher l'esprit de penser. On mettra la sexualité au premier plan des intérêts humains. Comme tranquillisant social, il n'y a rien de mieux. En général, on fera en sorte de bannir le sérieux de l'existence, de tourner en dérision tout ce qui a une valeur élevée, d'entretenir une constante apologie de la légèreté, de sorte que l'euphorie de la publicité devienne le standard du bonheur humain et le modèle de la liberté. Le conditionnement produira ainsi de lui-même une telle intégration que la seule peur – qu’il faudra entretenir – sera celle d’être exclus du système et donc de ne plus pouvoir accéder aux conditions nécessaires au bonheur. L’homme de masse, ainsi produit, doit être traité comme ce qu’il est: un veau, et il doit être surveillé comme doit l’être un troupeau. Tout ce qui permet d’endormir sa lucidité est bon socialement, ce qui menacerait de l’éveiller doit être ridiculisé, étouffé, combattu. Toute doctrine mettant en cause le système doit d’abord être désignée comme subversive et terroriste et ceux qui la soutiennent devront ensuite être traités comme tels. On observe cependant qu’il est très facile de corrompre un individu subversif: il suffit de lui proposer de l’argent et du pouvoir." Extrait du livre "Sagesse et révolte" de Serge Carfantan.
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