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5 commentaires

eppo 4 février 2022 - 12 h 01 min
En effet, le reporter en mission Paul Larrouturou en direct soufflant, suggérant, et dictant à Monsieur Lassana Bathily ce qu'il devait dire (ce dernier incapable de pondre une phrase de 4 mots en français), cela valait son pesant de cacahuètes !
BdiG 4 février 2022 - 13 h 05 min
Exact EPPO quant au "drapeau tricolore" Ruth Elkrief insiste tellement que ça devient pathétique
Socrate 4 février 2022 - 14 h 33 min
Cet homme avait eu de la chance d'échapper au terroriste de l'hyperkasher, mais comment oublier les clients surpris par l'assassin et qui ont été tué PAR UN MUSULMAN qui les a tués PARCE QUE LE CORAN DIT QU'IL FAUT TUER LES JUIFS ET LES CHRÉTIENS? Et comment oublier ce jeune juif qui, ayant apercu une mitraillette que Koulibaly avait posé un instant, s'en est emparé , mais, avant d'avoir pu tirer, a été assassiné par ce musulman? Celui-là était vraiment un héros, mais il n'a recu ni diplôme ni médaille, ni félicitations du pape Francois, bien sûr, puisqu'il était juif!
Socrate 4 février 2022 - 12 h 08 min
Les deux compères de LCI, bien connus pour leur sympathie à l'égard d'Eric Zemmour (!), avaient bien préparé leur coup: un tribunal médiatique avec des jurés triés sur le volet, de prétendus "abstentionnistes-encore-indécis" qui dans leur déclaration liminaire débitaient chacun le même couplet appris par coeur, se faisant passer pour des modérés prêts à choisir le candidat le plus convaincant. Il ne fallait pas les écouter longtemps pour comprendre qu'ils s'agissait de militants politiques ou associatifs qui récitaient les questions qu'on leur avait dit de poser. Le plus caricatural était ce Larrouturu qui parlait pour son invité surprise, lequel maîtrisait à peine un francais approximatif et n'avait pu retenir par coeur plus que la première phrase qui lui avait été serinée à l'avance. Le but était de faire apparaître Zemmour comme un sans-coeur, et peut-être celui-ci aurait-il dû mieux éviter le piège, rappelant que le terroriste de l'hyper-kasher de Montrouge était un Sénégalais, que 53 soldats francais avaient donné leur vie pour défendre les Maliens contre le terrorisme musulman, que bien d'autres avaient été blessés, parmi lesquels des Légionnaires qui avaient pu ainsi devenir francais "par le sang versé" selon la formule en usage. Les cameramen avaient choisi un angle de vue qui donnait à Zemmour un profil dur, fermé en gros plan, alors que de face il est beaucoup plus rigolard. Bref, le service public payé avec nos sous a encore une fois montré sa partialité. Ce coup médiatique de Ruth Elkrief (qui au cours d'une précédente interview avait été écrasée au mur par Zemmour) fera-t-il tort aux candidat? J'espère qu'il repassera la séquence avec ses conseillers en communication, et qu'ils en tireront les enseignements.
Jean BART 5 février 2022 - 13 h 18 min
Les journalistes étaient, relativement, assez doux. Mais, ce qui peut être assez lassant et pathético-comique, c'est l'exemple ressassé de cet ivoirien spiderman... Sauf erreur de ma part, c'est bien l'intraitable Jean-Marc Morandini qui s'était exposé à un lynchage médiatique parce qu'il avait osé émettre des doutes sur le caractère véridique de la scène...(tout juste s'il n'allait pas être placé en détention provisoire)? Je ne finis pas d'en émettre pour ma part et je suis fasciné par le stratégique et calme choix de M Zemmour de ne pas en émettre. -Les hauteurs inter-prises tombent (si je puis dire) magnifiquement à pic. -Le public est au rendez-vous, pour une scène flash. -Le plus frappant: le papa ne bouge pas ses buttocks, quand bien même il s'agit de son fils (se prend-il pour Moïse? Est-il totally stone? Ne voit-il pas la foule témoin de son manquement?) -Le papa a été relâché après sa garde à vue. Eh bien MOÂ, je pense que tout cela est une supercherie, précisément à but politique. Mais j'admire la stratégie de M Zemmour comme un joueur de jeu de grande stratégie qui jouerait un coup que personne ne connaît et qui s'avèrerait efficace et déterminant. Mes respects.
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