La suppression partielle de l’ISF et d’autres mesures d’allègement fiscal pour les capitaux nuisent à la popularité d’Emmanuel Macron. On le surnomme désormais le “président des riches”. À tort ou à raison ?
La suppression partielle de l’ISF et d’autres mesures d’allègement fiscal pour les capitaux nuisent à la popularité d’Emmanuel Macron. On le surnomme désormais le “président des riches”. À tort ou à raison ?